Point S, enseigne spécialisée dans l'entretien automobile et précurseur du marché pneumatique, était toujours contre le travail dominical, depuis 2009, par la voix de son directeur général, Christophe Rollet.
Ce dernier a, en effet, exprimé son inquiétude par rapport à ce sujet, le 4 mai dernier « Une fois de plus, nous avons la preuve que ces ouvertures du dimanche ont été mal encadrées, mal réfléchies par le Gouvernement. » annonce-t-il.
Le patron de point S se positionne du côté des salariés en indiquant que « Même dans les commerces qui se trouvent dans les zones d’activités commerciales et touristiques, où le travail le dimanche peut trouver une légitimité, les accords proposés sont refusés par les syndicats. »
Christophe Rollet trouve que le travail dominical n'influence pas, uniquement, la qualité du travail, mais aussi, il ne permet pas aux entreprises d'améliorer leurs chiffres d'affaires. Il a noté, aussi, que ce n'est pas avantageux aussi pour les consommateurs. Ces derniers n'ont pas besoin d'un jour supplémentaire pour dépenser de l'argent qui n'en ont pas assez.
« La loi doit être une nouvelle fois repensée, dans l’objectif premier de limiter au maximum ces ouvertures du dimanche », précise le PDG Point S avant de conclure « Il est fondamental de mieux délimiter les zones d’activité concernées, en veillant à ce que seuls les commerces présents dans ces zones soient autorisés à ouvrir tous les dimanches. »